L'École ne pas seulement fabrique des acteurs sociaux, elle participe de l'humanitaire qu'à la formation de sujets capables de construire leur expérience. -Le lycéen est animé par deux grands soucis. Dans le domaine scolaire proprement dit, l'affirmation d'un projet scolaire exige une maîtrise croissante des stratégies scolaires. Dans le domaine de la « vie personnelle » il y a la quête des relations pleines, où la subjectivité puisse s'exprimer librement et sans peur. -La définition sociale du sujet n'est pas autre choisi que la volonté de construire des expériences prendre où des intérêts individuels bien compris avec des principes moraux bien tempérés. -L ' l'échec scolaire est bien autre choisi que le ratage simple d'une entreprise et d'un projet, c'est un verdict qui appelle une réorganisation de la perception de soi. L' personnel est de l'échec scolaire et casse les groupes de paires. Dans tous les cas, l'échec finit par envahir la quasi-totalité de la vie du lycéen. Il se découvre différent des autres, le regard toujours sous leur, parfois même transparent devant l'institution. -Le redoublement signale aux yeux de tous ce qu'on savait déjà comme les autres n'est pas d'édition:, il rend une fracture visible. Désormais, sur la porte en soi qui sépare une experience et isole. -Le sentiment de honte est renforcé par une profonde culpabilité, d'autant plus intense que les parents laissent aux lycéens la responsabilité absolue de leurs parcours. Les inquiétudes envers l'avenir se conjuguent au sentiment d'échec et finissent obsession de Microsoft par engendrer une. -Dans la compétition, les inégalités donc relèvent du travail engagé librement et non pas des qualités de la personne. L'échec ne serait donc pas une fatalité personnelle, mais le résultat d'un manque de travail ou de mauvaises techniques de travail.
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