La pensée du siècle des Lumières se développe autour de deux thèmes ma dịch - La pensée du siècle des Lumières se développe autour de deux thèmes ma Pháp làm thế nào để nói

La pensée du siècle des Lumières se

La pensée du siècle des Lumières se développe autour de deux thèmes majeurs : le retour à la nature, la recherche du bonheur. Les philosophes dénoncent dans les religions et les pouvoirs tyranniques des forces obscurantistes responsables de l'apparition du mal, dans un monde où l'homme aurait dû être heureux. Ils réhabilitent donc la nature humaine, qui n'est plus entachée par un péché originel ou une tare ontologique ; ils substituent à la recherche chrétienne du salut dans l'au-delà la quête ici-bas du bonheur individuel. À la condamnation des passions succède leur apologie : l'homme doit les satisfaire, à condition qu'elles ne s'opposent pas au bonheur d'autrui.
Le fonds commun des Lumières réside dans un rejet de la métaphysique, selon laquelle la transcendance (Dieu) précède la réalité (le monde). Les termes en sont inversés : la transcendance est ce qui reste, ce qui résiste à toute analyse rationnelle, scientifique, historique. Par-delà leur diversité, les hommes des Lumières ont en commun cette attitude d'esprit inspirée de la méthode scientifique, de l'expérimentalisme de Newton et de Locke : chercher dans l'investigation empirique des choses les rapports, les corrélations, les lois qui les régissent, et qui ont été jusqu'à présent masqués par lespréjugés
Les Lumières refusent la prétention de la religion à tout expliquer, à fournir les raisons ultimes ; elles veulent distinguer entre les différentes sphères de la réalité : le naturel, le politique, le domestique, le religieux, chacun ayant son domaine de pertinence et ses lois, chacun exigeant des savoirs et des méthodes de connaissance différents.
Rejet des dogmes mais pas rejet de Dieu. La plupart des intellectuels éclairés restent néanmoins déistes : pour eux, l'Univers est une mécanique admirablement réglée, dont l'ordre implique une intelligence ordonnatrice. « Je ne puis imaginer, dit Voltaire, que cette horloge marche et n'ait pas d'horloger. »
La philosophie des Lumières procède d'un humanisme laïque : elle place l'homme au centre du monde, et entend œuvrer à son bonheur. Pour Voltaire, « le vrai philosophe défriche les champs incultes, augmente le nombre des charrues, occupe le pauvre et l'enrichit, encourage les mariages, établit l'orphelin. Il n'attend rien des hommes, mais leur fait tout le bien dont il est capable ».
Un tel humanisme se situe à rebours de l'espérance chrétienne : « La vertu consiste à faire du bien à ses semblables et non pas dans de vaines pratiques de mortifications », écrit encore Voltaire. Foin des prières et des cierges dans les églises, il faut des actes. Tout l'effort de connaissance est orienté vers l'utilité commune. Cette conception utilitariste fait du bonheur le bien suprême. Elle tourne le dos à l'idée chrétienne de purification par l'épreuve et la souffrance, ainsi qu'aux notions nobiliaires et militaires d'héroïsme et de gloire.
Il y a là un optimisme fondamental, aux effets mobilisateurs : les hommes des Lumières croient au progrès possible des connaissances, à la capacité de la raison de saper les conventions, les usages et les institutions qui contredisent la nature et la justice. Pour eux, l'avancée de la science garantit la marche vers le bonheur. Cette foi dans le progrès indéfini de l'humanité se trouve d'ailleurs confortée par les découvertes scientifiques et la croissance économique du siècle.
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La pensée du siècle des Lumières se développe autour de deux thèmes « majors »: le retour à la nature, de la recherche du bonheur. Les philosophes dénoncent dans les religions et les pouvoirs tyranniques des responsables de l'apparition du mal obscurantistes des forces, dans un monde où l'homme aurait dû être heureux. ILS donc réhabilitent la nature humaine, qui n'est plus entachée par tare d'ontologique d'un péché originel ou une ; ILS à la recherche substituants chrétienne du salut dans l'au-delà la quête ici-bas du bonheur individuel. À la condamnation des passions succède leur apologie : l'homme doit satisfaire les ne s'opposent pas, à condition qu'elles autrui au bonheur.Le fonds commun des Lumières réside dans un rejet de la métaphysique, selenon laquelle la transcendance (Dieu) précède la réalité (le monde). Les termes en mm. : la transcendance-est ce qui, ce qui résiste à toute de rester, analyse rationnelle, historique, scientifique. Par-delà leur diversité, les hommes des Lumières ont en commun cette attitude d'esprit inspirée de la méthode scientifique, de l'expérimentalisme de Newton et de Locke : chercher dans l'investigation empirique des choses les rapports, les corrélations, les lois qui régissent les, et qui ont été jusqu'à ' à pas présent par lespréjugésLes Lumières refusent la prétention de la religion à fournir, à expliquer les raisons tout ultimes ; Elles veulent distinguer entre les différentes sphères de la réalité : le naturel, le domestique, le religieux, le politique, chacun ayant pertinence de de son domaine et ses lois, exigeant de chacun des savoirs et des méthodes de connaissance différents.Rejet des dogmes mais pas rejet de Dieu. La plupart des intellectuels a ook restent déistes : pour eux, l'univers est une admirablement réglée, ne décrète pas mécanique voelen une intelligence ordonnatrice. « Je ne puis imaginer, dit Voltaire, que cette la marche et sont pas d'horloger. »La philosophie des Lumières procède d'un humanisme laïque : elle place l'homme au centre du monde, entend verbe œuvrer à et son bonheur. « Le vrai philosophe, Voltaire pour défriche les champs incultes, le nombre augmente des charrues, le pauvre occupe et l'enrichit, les mariages établit l'orphelin, encourager. Il n'attend rien des hommes, mais leur fait tout le bien ne il est capable ».UN humanisme se situe à rebours tel de l'Espérance chrétienne: « La vertu consiste à faire du bien à ses semblables et non pas dans de pratiques de vaines mortifications », écrit encore Voltaire. Foin des prières et des cierges dans les églises, il faut des actes. Tout l'effort de connaissance est orienté vers le "utilité commune. Cette conception utilitariste fait du bonheur le bien suprême. Elle tourne le dos à l « idée chrétienne de l » épreuve et la purification de souffrance nominale, ainsi Saitor des notions nobiliaires et d'héroïsme et militaires de gloire.Il y a un optimisme fondamental, aux effets mobilisateurs : les hommes des Lumières croient au progrès des connaissances, à la capacité éventuelle de la raison de saper les conventions, les usages et les institutions qui contredisent la nature et la justice. Verser eux, l'avancée de la science garantit la marche vers le bonheur. Cette foi dans le progrès indéfini de l ' humanité se trouve d'ailleurs confortée par les découvertes scientifiques et la croissance économique du siècle.
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La Pensée du Siècle des Lumières Autour de deux thèmes se developpe Majeurs: le retour à la nature, la recherche du bonheur. Dans Les Philosophes Les religions et les denoncent Pouvoirs tyranniques des Responsables de l'apparition obscurantistes vos forces du Mal, l'homme Dans un monde Où aurait du Être Heureux. Fait ILS La Nature Humaine rehabilitent, Ne est de Qui plus les Nations Unies Péché entachee by a ous originel ontologique tare; ILS à la recherche du salut substituant Dans l'chrétienne Au-delà du bas la quete ici-bonheur individuel. À la condamnation des passions succede Leur apologie:. L'homme Doit les Satisfaire, une condition s'opposent ne pas au bonheur qu'elles d'autrui
Le Fonds commun des Lumieres Dans un Reside rejet de la métaphysique, SELON Laquelle la transcendance ( Dieu) précèdent la realite (Le Monde). Les Termes fr Sont inverses: Ce Qui Est Reste la transcendance, Ce Qui À toute Analyse resiste Rationnelle, scientifique, historique. Par-Dela Leur diversite, les hommes Ont en commun des Lumières d'esprit Inspirée this l'attitude scientifique de la Méthode, Newton et de l'experimentalisme de de Locke: Chercher des Choses Dans l'enquête empirique les Rapports, les corrélations, les lois Sie les regissent, ET Sie were PAR lesprejuges masques jusqu'a Présent
Les Lumières de la religion refusent à la prétention tentatives de viol tout, à provide les Raisons ultimes; Entre les differentes Distinguer veulent Elles de la realite Sphères:. le naturel, le politique, le domestique, le religieux, Ayant chacun son domaine de pertinence et ses lois, Chacun et des savoirs exigeant des differents methodes de Connaissance
Rejet Mais pas des dogmes rejet de Dieu. La plupart des intellectuels Eclaires RESTENT neanmoins deistes: EUX verser, l'Univers is a admirablement reglee mécanique, ne pas l'Ordre implique ordonnatrice Une intelligence. «Je ne Imaginer Puis, dit Voltaire, et au Québec this Ait marche pas d'horloge horloger. »La Philosophie des Lumières d'humanisme non procede Laique: l'homme au centre Elle endroit du monde, et un fils bonheur oeuvrer entend.
Pour Voltaire, "le vrai les champs incultes Défriche philosophe, Le Nombre des AUGMENTE charrues, le pauvre et l'enrichit en occupe, Encourager les mariages, etablit l'orphelin. Des hommes ne attend Il rien, Mais tout fait Leur Dont Il Est capable de la mer ".
Un tel humanisme soi à Rebours de l'Esperance SITUE chrétienne:« Consiste A faire du Léman Vertu variables a pas Dans SES semblables et non de Vaines Pratiques de mortifications », Voltaire Écrit encore. Foin et des des prieres Dans les Eglises cierges, Il Faut des Actes. Tout est l'effort de vers de la Connaissance commune de l'Oriente. Bonheur du fait this conception utilitariste de la mer suprême. Elle à l'idée Tourne le dos de la purification par l'epreuve chrétienne et la souffrance, militaires et AINSI d'nobiliaires qu'aux notions et de gloire héroïsme.
Il ya non fondamental d'optimisme, aux EFFETS mobilisateurs: Les Hommes des Lumières croient Connaissances au Progres des im possible, à la raison de la CAPACITE les conventions de Saper, les usages et les Institutions Qui La nature et la justice contredisent. Verser EUX, l'Avancée de la marche vers la Science garantit le bonheur. Foi Dans this de l'Humanité Le Progres is indefini d'Ailleurs confortee par la Croissance et les DECOUVERTES Scientifiques du Siècle économique.
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